
Article tout spécialement dédié à mon père – ancien gendarme ayant officié au sein de la section de recherche – scandalisé par les accusations à mon encontre et la sienne, alors que le juge d’instruction avait aussi requis son placement en garde à vue en 2019 à l’âge de 89 ans et qu’il était gravement malade du cœur.
Il en est mort, d’avoir eu son âme violée par une justice qu’il a toujours servie.
Je ne suis ni le complice de « J P K » dans l’abandon de sa femme et de ses enfants le soir ou la nuit du 15 au 16 décembre 1997, ni celui de son éventuel kidnapping par des mercenaires aux aguets, après sa disparition organisée par lui-même, et encore moins son assassin par passion pour sa femme.
Je ne sais rien de ce qui s’est passé, ni avant ma venue à leur domicile lorsque appelé par sa femme paniquée, ni après.
Maintenant, je rappelle que la charge de la preuve incombe à celui qui attaque et non à la défense.
Par exemple :
Pourquoi Françoise DREUILHE mère de « J P K » et Pierre QUENTIN son concubin ont-ils inventé la nuit même de l’abandon de famille par « J P K » – celle du 15 au 16 décembre 1997- « l’histoire de la voiture endommagée » s’agissant de ma Renault 21 ?
Cette intrigue contre moi ne pouvait qu’engendrer ma riposte et face à de telles accusations mensongères et dès lors confronté aux faux témoignages de cette femme, j’ai décidé de porter plainte contre la mère de « J P K » en conséquence.
De plus, pourquoi Pierre QUENTIN a demandé à la fille de « J P K » d’arrêter de l’appeler dans la nuit, alors qu’il était introuvable à leur domicile de TEMARUATA ?
Pire même, pourquoi Pierre QUENTIN a décidé que la gendarmerie ne serait appelée que le lendemain matin ?
Le jeune frère de « J P K » finira par contacter la gendarmerie alentour de 6h30 du matin alors que Pierre QUENTIN avait déclaré qu’il le ferait lui-même.
Pourquoi également, la mère et le « beau-père » de « J P K », n’ont-ils pas tenté de le joindre sur son téléphone GSM cette nuit-là ?
Pourquoi n’y-a-t ’il eut aucune enquête portant sur ces faits, et imputables à la mère de « J P K » et à son concubin ?
Pourquoi sa fratrie n’a-t-elle pas essayé non plus de joindre « J P K » sur sa ligne GSM prise en charge par la mairie d’Arue au titre de son activité de chargé de communication ?
Pour un cas de suicide allégué, pourquoi cette mise en scène macabre de « J P K » consistant à déposer un vrai crâne humain sur un des oreillers du lit conjugal ?
Pourquoi ce crâne n’a pas été saisi par les enquêteurs de la gendarmerie ?
Il aurait été opportun d’effectuer des recherches d’empreintes digitales, voire même d’ADN pour déterminer le plus précisément possible son origine par rapport à l’île de Huahine, où selon toute vraisemblance, « J P K » se l’était approprié, quitte à l’avoir prélevé illégalement sur l’un des nombreux marae de l’île, à moins d’avoir pillé une tombe ?
Ce crâne aurait selon un proche de « J P K » et de sa femme, été récupéré par lui peu après le début de cette affaire, pour être ensuite remis à un couple faisant partie de ses connaissances afin de lui donner une sépulture digne…
Les enquêteurs n’ont pas interrogé ces deux individus pourtant identifiés afin de connaître la destination finale de ce crâne, dont il est rappelé que la détention est illégale.
Cela ne semble choquer que moi.
Pourquoi aucune enquête n’a été menée à ce sujet ?
Qu’est-ce que la justice a à cacher dans ce dossier ?
Parce que l’abandon de famille était évident dès le départ de cette affaire.
Je n’ai jamais cru au suicide de « J P K » et encore moins à un enlèvement chez lui ce soir ou cette nuit-là.
Les toutes dernières personnes à avoir vu « J P K » sont celles qui l’ont aidé à abandonner sa femme et ses enfants.
En effet, le faux raisonnement tenu par certains magistrats – y compris juges d’instruction – réside dans le fait qu’aucune enquête n’a été diligentée pour l’infraction d’abandon de famille par « J P K » dans le mois qui a suivi le fait qu’il soit devenu introuvable dans la nuit du 15 au 16 décembre 1997.
Durant la soirée du 15 décembre 1997, ils étaient quatre au domicile familial. Encore une fois l’enquête le démontre à travers les auditions de sa femme et de leurs enfants.
Mais j’ai toujours cru à un abandon de ses enfants et de sa femme avec une mise en scène macabre. Cette mise en scène, je ne l’ai comprise que lorsque j’ai enfin accédé au dossier d’instruction trois mois après ma mise en examen, qui elle est survenue vingt et un ans et demi après que « J P K » ait cessé de paraître.
J’ai réalisé que les mensonges et les faux témoignages des « Couraud » voulaient faire croire à un suicide de « J P K » pour camoufler l’abandon par ce dernier de sa femme et de ses enfants.
C’est à la lecture du dossier d’instruction et tout particulièrement des cotes relatives aux auditions, témoignages et dénonciations de la mère et du « beau-père de « J P K » à mon encontre, que j’ai compris qu’il avait pu se faire enlever par les mercenaires du président du gouvernement de l’époque après qu’il ait volontairement quitté son domicile et la résidence Temaruata. Ces mercenaires le suivaient du matin jusqu’au soir, de son domicile à son lieu de travail et jusqu’à son retour chez lui. Il était d’ailleurs sous écoute téléphonique, au même titre que beaucoup de monde, et j’en faisais partie.
À partir de la prise de connaissance de ces informations capitales contenues dans le dossier d’instruction, et puisque le corps de « J P K » n’a jamais été retrouvé, j’ai pensé que son enlèvement était possible pour des mercenaires du président du gouvernement de l’époque bien équipés en matériel de surveillance, de transport…
Ces mercenaires étaient certainement au courant des intentions de « J P K » d’abandonner sa femme et ses enfants, tout comme ils étaient forcément au courant de ses derniers déplacements, cette soirée ou tard dans la nuit du 15 au 16 décembre 1997.
« J P K » ne devait pas se douter que ses lignes GSM et téléphone fixe, au bureau comme à domicile, étaient placées sous écoute illégale, comme pour moi et pour Boris LEONTIEFF ainsi que d’autres membres de notre parti politique, le FETIA API.
Il apparait évident, suite à l’exploitation de nombreux éléments du dossier comprenant des indices graves et tendant à prouver que lesdits mercenaires connaissaient les moindres faits et gestes de « J P K » ; qu’ils pouvaient parvenir à le faire disparaître sans avoir d’ennui puisque la thèse du suicide promue par sa famille était rapidement devenue officielle.
Le seul moyen d’expliquer les mensonges de la famille de « J P K » qui se sont rapidement transformés en faux témoignage via les dénonciations qu’ils ont personnellement et individuellement formulées par écrit au juge d’instruction, réside dans le fait qu’ils aient rapidement – la mère et la fratrie de « J P K » – accrédité la version de son suicide en raison d’une tentative de suicide antérieure en France métropolitaine.
La possibilité d’organiser un assassinat parfait devenait claire.
Une fois cette possibilité d’assassinat devenue crédible, les mensonges « des Couraud » tous incohérents dans les premières semaines ayant suivi l’abandon de sa femme et de ses enfants par « J P K », deviennent alors cohérents si « J P K » s’est réellement fait enlever après sa mise en scène macabre.
Aujourd’hui, les mensonges de la famille de « J P K » laissent apparaître qu’ils avaient pour mobile de faire croire à un suicide pour cacher l’abandon de sa femme et de ses enfants, suivit contre toute attente, de son enlèvement ou de son assassinat.
Pour mémoire, le jugement de constatation de présomption d’absence de « J P K » est survenu en novembre 1998. Ce jugement a également prononcé le sursis à statuer portant sur la demande de désignation de son frère aîné comme administrateur Ad ’Hoc des biens du couple.
Un fait très révélateur :
Certains magistrats ayant pris soin de mieux comprendre cette soirée du 15 au 16 décembre 1997 que d’autres, l’un d’eux a consenti à prononcer le divorce d’avec son mari, à la femme de « J P K » quelques années après sa disparition !
Le juge aux Affaires Familiales a prononcé en novembre 2002, soit près de cinq ans après sa disparition, le divorce aux torts exclusifs de Jean-Pascal COURAUD, alias « J P K ».
« J P K » a aussi été condamné aux dépens.
Ce jugement intervenu près de cinq ans après que « J P K » soit devenu introuvable semble démontrer que le juge ne portait aucun crédit quant au décès de Jean-Pascal COURAUD. Il ne s ‘y est pas trompé.
A ce moment-là, donc en novembre 2002, « J P K » n’était pas mort aux yeux de la justice.
Cette décision accrédite le fait que dans la soirée ou dans la nuit du 15 au 16 décembre 1997, « J P K » soit parti de lui-même de sa résidence à TEMARUATA, pour se réfugier chez des complices et se soustraire ainsi à ses responsabilités de mari et de père.
Les mensonges de certains membres de cette famille constituent un faisceau d’indices concordants validant l’abandon de sa femme et des enfants de ses deux lits par lui.
Malheureusement pour moi , il ne restait plus à la famille Couraud qu’à mettre en avant mes mensonges sur la récente liaison entretenue avec la femme de « J P K », pour faire croire à un crime passionnel afin de cacher leurs propres incohérences mensongères durant les semaines qui ont suivi la mise en scène de « J P K » dans la soirée ou la nuit du 15 au 16 décembre 1997.
Placé en situation de pouvoir être confronté à moi en janvier 2007, Pierre QUENTIN qui en avait accepté le principe lorsque sollicité par les gendarmes dès le début de ma garde à vue, a finalement refusé de se déplacer à la gendarmerie de Papeete où j’étais retenu, refusant de facto d’assumer face à moi les dénonciations gravissimes à mon encontre.
Sa concubine Françoise DREUILHE, mère de « J P K » n’a pas non plus saisi cette occasion, elle qui pourtant avait écrit au juge Jean – Bernard TALIERCIO au tout début de l’enquête, neuf ans auparavant, pour l’informer qu’elle voulait bien cette confrontation avec moi.
POURQUOI s’y sont-ils dérobés ?
Ces confrontations n’ont jamais eu lieu alors que tous deux étaient mes principaux accusateurs. J’ai été mis en examen sur la foi de leurs faux témoignages bâtis sur leur mensonges réitérés tout au long de l’enquête.
Depuis le début de cette affaire et pour des raisons incompréhensibles, certains magistrats donnent prise aux délires constants des COURAUD et refusent de faire une véritable instruction à charge et à décharge.
Alors que des magistrats, et pas des moindres ont relevé les incohérences mensongères de la famille COURAUD, à tel point qu’ils demandèrent le non-lieu en novembre 2007, tellement l’altération de cette affaire par d’autres magistrats avant eux, était évidente.
Pour être plus précis, un des juges d’instruction écœuré par les interventions incessantes de la famille de « J P K », et la pression médiatique orchestrée par eux a demandé et a obtenu d’être dessaisi de l’instruction de l’affaire.
Si ce dossier interroge sur le parti pris des magistrats concernés, il pose aussi le problème du système socio-politique mis en place en Polynésie et toléré par la France.
« À qui profite la disparition de Jean-Pascal Couraud, alias JPK ?«
QUI CONTINUE DE BENEFICIER EN 2022 DE CETTE DISPARITION ?
N’hésitez pas à lire les articles précédents pour mieux comprendre cette affaire « J P K », au-delà des apparences :
https://affairejpk.net/2021/04/29/synthese-de-la-nuit-du-15-au-16-decembre-1997/
https://affairejpk.net/2021/05/11/a-lattention-du-gendarme-instructeur-romancier/
https://affairejpk.net/2021/05/14/laffaire-j-p-k-alteree-par-la-justice-en-1997/
https://affairejpk.net/2021/05/21/hommage-aux-disparus-du-fetia-api/