LORSQUE LES PETITS-ENFANTS DE FRANÇOISE DREUILHE LA CONTREDISENT
Décidément, celle qui qualifie le Palais de Justice
de « PALAIS DE L’INJUSTICE » dans une interview donnée à la télévision française en déplacement au Fenua « Polynesia » pour effectuer un reportage sur cette affaire il y à quelques années, ne recule devant aucun mensonge, et on peut à présent l’affirmer, devant aucun faux témoignage !
En effet, l’enquête révèle – sans toutefois le démontrer – que dans la soirée du 15 décembre 1997, une dispute aurait éclaté au sein du couple de JPK.
Le 18 octobre 1998, Françoise DREUIHLE déclare sous serment à la brigade de gendarmerie de Punaauia que « son autre petit-fils (demi-frère (aîné)), (fils du 1er lit de J-P Couraud avec une autre polynésienne) qui soi-disant avait été informé par son petit frère de la présence de Francis STEIN lors de la « grosse dispute » survenue le soir de la disparition de son père ».
Elle affirme que « l’un de ses petits-fils issu du 1er lit de Jean-Pascal, donc l’aîné des deux frères, « est venu lui rapporter la veille (dans la matinée du samedi 17 octobre 1998), que son petit frère lui a dit que STEIN Francis était présent lors de la grosse dispute survenue le soir de la disparition de Jean-Pascal ».
C’est tout ce que son petit frère a dit à son (grand) frère.
« Concernant l’heure à laquelle la dispute s’est passée, je ne saurais vous le dire, mais je pense pouvoir la situer d’après la déclaration par rapport à (nom anonymisé pour respecter cette personne) « la fille (d’un premier lit) de la femme de Jean-Pascal », et selon laquelle à 21 heures le plus jeune des fils (nom anonymisé pour respecter cette personne) de Jean-Pascal dormait. Ce qui permet de présumer que la dispute a eu lieu avant 21 heures ».
Pourtant, la soi-disant dispute du couple COURAUD soutenue par le ministère public et la chambre de l’instruction qui ne tient pas compte des éléments du mémoire déposé par l’avocat de Francis STEIN, en ce qu’il démontrait à travers l’analyse des auditions de plusieurs témoins proches puisque faisant partie de cette famille ou étant « famille alliée », ne constitue pas la bonne version.
Celle qu’a donnée leur plus jeune fils dont nous tairons aussi le nom par respect pour sa personne est manifestement plus conforme à la réalité. Il est interrogé le 18 mai 2017.
Ainsi, le ministère public se garde bien de relater le contenu de son audition (fils cadet de Jean-Pascal COURAUD), qui interrogé une fois devenu adulte dément les propos de sa grand-mère, Françoise DREUIHLE
Entendu à la brigade de gendarmerie de Punaauia, l’aîné des fils de JPK qui était absent ce soir-là car étant chez sa mère loin du lotissement résidentiel TEMARUATA à Punaauia, ne confirmait pas avoir évoqué la présence de Francis STEIN à sa grand-mère et ajoutait « qu’il n’avait pas posé la question à son petit frère quant à la présence d’une tierce personne au cours de la dispute entre leur père et sa nouvelle femme ».
D’ailleurs, le plus jeune des fils, déclare le 18 mai 2017, « ne pas avoir souvenir – d’avoir parlé à son grand frère – d’une grosse dispute entre ses parents le soir de la disparition de son père.
A la question de savoir s’il avait vu Francis STEIN ce soir-là (15/12/1997), il répond ne se souvenir que de la présence de son tonton (M… T…).
Mieux encore, sinon pire :
Si l’on suit la logique de Denis ATGER commandant la section de recherches de la gendarmerie et directeur d’enquête, puisque selon lui, « la femme de « JPK » et Francis sont des assassins et ont tué J-P COURAUD alentour de 23 h 00 (heure selon ses conclusions, de la disparition de son mari), alors même que deux enfants sont présents au domicile et que cette maison a plusieurs voisins, un assassinat aurait donc été commis au risque que deux jeunes enfants en soient les témoins directs ?
Ou que les voisins remarquent et entendent quelque chose ?
La fille de la femme de J-P Couraud (née d’un autre lit) mais le considérant comme son père, est interrogée le 19 mai 2016 par Denis ATGER, lieutenant-colonel, chef d’enquête de la section de recherches de la gendarmerie.
il lui pose cette question :
Vous souvenez-vous de la présence de Francis STEIN à votre domicile les heures qui ont précédé sa disparition ?
Elle maintient que non en déclarant :
« Francis STEIN n’est jamais venu la soirée précédant la disparition, j’en suis sûre. Je précise que ce soir-là j’ai dû me coucher vers 20 heures 30 et m’endormir certainement avant 21 heures ».
Denis ATGER poursuit ses questions :
D’après les propos de votre demi-frère (le plus jeune, présent avec elle ce soir là au domicile familial) qu’il tenait de vous et rapporté à votre autre demi-frère (l’aîné des garçons), il y aurait existé une dispute entre votre mère et Jean-Pascal le soir de la disparition et ce en présence de Francis STEIN. Qu’avez-vous à me dire ?
L’intéressée réfute également des propos qu’elle aurait soi-disant tenu au plus jeune de ses demi-frères, qui les aurait répétés à son demi-frère aîné (absent le soir de la disparition JPK), invoquant une dispute du couple COURAUD en la présence de Francis STEIN en répondant :
Je n’ai jamais tenu ces propos à mon frère qui à l’époque avait 5 ans. Je n’ai pas souvenir qu’il se soit levé ou pas la nuit de la disparition.
Le duo DREUILHE – QUENTIN s’entête à prêter aux enfants de Jean-Pascal et sa femme, des propos qu’ils n’ont jamais tenus et ils les réfutent, mettant ainsi à mal les manipulations de Mme DREUILE et de son concubin.
Mais cela, la justice n’en tient pas compte encore une fois.
DECIDEMENT PIERRE QUENTIN A-T-Il EU DES HALLUCINATIONS AU SUJET DU VEHICULE DE FRANCIS STEIN PUISQU’IL TENTE PAR TOUS LES MOYENS DE CONSTRUIRE UN CONTEXTE CREDIBILISANT UNE BAGARRE VIOLENTE IMPACTANT SERIEUSEMENT SA RENAULT- 21 ?
La fille de la femme de Jean-Pascal toujours interrogée par Denis ATGER doit répondre à d’autres questions :
Pierre QUENTIN pense quant à lui à une bagarre qui aurait mal tourné entre Francis STEIN et Jean-Pascal, violences qui auraient entrainées les dégâts sur le véhicule de Francis STEIN.
Qu’en pensez-vous ?
Elle lui répond :
Avant que je m’endorme Francis STEIN n’était pas chez-nous et s’il était venu après que je sois endormie et qu’il y ait une dispute, j’aurai entendu. Ma chambre qui donne sur le séjour est protégée par un rideau en tissu.
Le gendarme lui rétorque :
Avez-vous entendu ou assisté à une bagarre entre Jean-Pascal et Francis STEIN le soir de la disparition ?
Elle lui répond :
Non.
Malgré la tentative de Pierre QUENTIN relayée par Denis ATGER chef d’enquête, la fille de la femme de « JPK » maintien que Francis STEIN n’était pas chez eux, et qu’elle n’a entendu ou assisté à aucune bagarre.
ATGER n’ira pas jusqu’à la placer en garde à vue cependant…
Il n’existe donc aucun indice concordant permettant de démontrer l’existence d’une dispute du couple COURAUD ce soir-là et surtout la présence de Francis STEIN sur place.
DONT ACTE !