RETOUR SUR LA 1ère PARTIE DE Ses FAUX TEMOIGNAGES
Lorsque la rumeur persistante qui est propagée par corailzoulou@gmail.com prétend que le véhicule Renault 21 de Francis STEIN a été endommagé dans la nuit du 15 au 16 décembre 1997, il est nécessaire de lui opposer le fait que cette R 21 n’était plus la sienne depuis 1999 lorsqu’elle passe entre les mains de l’expert automobile en 2006.
Francis STEIN l’avait achetée neuve en 1991 et l’a revendue près de deux ans après que Françoise DREUILHE effectue son 1er faux témoignage. Il n’a découvert tout cela qu’au début de l’année 2021 en relisant l’ensemble des cotes numérotées par le greffe du magistrat en charge de l’instruction.
Les cotes concernant les auditions des concubins QUENTIN/DREUILHE unis dans leurs multiples mensonges sont assumées par eux de façon téméraire.
- Et puisqu’il faut en quelque sorte matérialiser ce premier faux témoignage, il s’agit de la cote datant du 11 février 1998 qui fait partie de 135 cotes représentant pas moins de 370 pages.
Cette 1ère audition de Françoise DREUILHE démarre à la 4e page et s’arrête à la page 24.
Jean-Bernard TALIERCIO juge en charge de l’instruction, assisté de son greffier reçoit ce jour-là la mère de « JPK », professeur retraitée à 14 h 34 pour l’auditionner sous serment et sur convocation.
Elle lui remet d’emblée les notes écrites de sa main, réunies dans une liasse de 17 pages qui comprennent aussi un message au juge qu’elle a rédigé sur le papier à entête du Docteur Pierre Quentin, et le tout se retrouve enregistré et annexé au Procès-Verbal de son audition. Elle confirmera d’ailleurs le contenu ses notes manuscrites tout au long de cette audition de 1998.
Elle précise « que les gendarmes, pour sa part, s’ils l’ont longuement entendue, ils n’ont jamais établi de procès-verbal ».
Cette Renault 21 qui aurait soi-disant et selon la partie civile des « problèmes matériels constatés en présence de Francis STEIN par la mère de Jean-Pascal ainsi que son compagnon, aurait la portière avant-droite qui ferme mal, elle semble avoir été forcée », ce que Francis STEIN a toujours nié.
Il faut pourtant revenir sur le raisonnement spécieux des fourbes ayant consigné par écrit ces accusations en prenant soin de formuler toutes les hypothèses imaginables & les plus invraisemblables.
Francis STEIN était donc, il est vrai, le légitime propriétaire d’une RENAULT 21 GTS de couleur blanche immatriculée 83 007 P, mais seulement de 1991 à 1999 et certainement pas au delà.
Grâce au témoignage écrit de Mme DREUILHE, véritable « confession à décharge » en faveur de Francis STEIN au sujet de ce véhicule Renault 21, quoique tout à fait involontaire de sa part puisque conçue pour lui nuire, en décembre 1997 :
Huit jours seulement après le fait que « JPK » soit devenu introuvable, et sur l’intervention de sa mère Françoise, la gendarmerie de Punaauia convoque Francis STEIN à la brigade, en précisant qu’il doit venir avec son véhicule personnel, la R 21, ce qu’il fait tout naturellement et sans aucune difficulté.
Convoqué pour 18 h 00, il arrive avant l’heure et son audition démarre à 17h53.
Arrivé sur place, il lui est demandé de remettre sa clé de véhicule, ce qu’il fait bien évidement, sans que les gendarmes ne retiennent aucun grief contre lui et à 19h30, il quitte les lieux et rejoint son domicile.
Si c’était nécessaire, l’avocat de Francis STEIN tient à la disposition des consort DREUILHE – COURAUD, des enquêteurs et de la justice toutes les références de ces cotes, capitales pour la manifestation de la vérité.
Lorsqu’enfin la justice a ordonné l’expertise de la Renault 21 immatriculée 83 007 P, elle n’était déjà plus la propriété de Francis STEIN depuis sept ans .
Compte tenu de son état de dégradation lors de la première expertise légale réalisée le 14 août 2006, au moment où les gendarmes l’ont saisie pour la faire doublement expertiser, comment attribuer de manière irréfragable à Francis STEIN la responsabilité de l’état de cette portière, puisque cette voiture ne lui appartenait plus depuis fin 1999 ?
Ensuite, les gendarmes ont tenté sans succès, de révéler des traces de sang avec du LUMINOL, .
Sept ans avaient passé. Il est donc faux de prétendre qu’il s’agissait de son véhicule alors qu’il appartenait à un tiers.
Il est à espérer que l’indice grave ou concordant retenu par le juge d’instruction quant à l’état de la portière avant droite de cette RENAULT 21, ne constitue qu’une erreur de raisonnement de sa part.
Ce qui fût la voiture de Francis STEIN lors des deux expertises réalisées huit ans et demi après la disparition de « JPK », et donc sept années après qu’il l’ait vendue, n’était plus qu’une épave immobilisée, et de plus remisée sous une bâche dans une cour.
Lorsque Francis STEIN a acheté sa Audi A 3 au bout de sept années d’utilisation par son épouse de la Renault 21, ce véhicule était toujours en parfait état de fonctionnement.
Si cette Renault 21 était dans l’état tel que prétendu par DREUILHE & QUENTIN dans leurs faux témoignages successifs, qui aurait bien pu vouloir l’acheter ?
Faut-il encore insister sur le fait que lorsque l’on vend un bien, on n’en est plus le propriétaire et que son état, n’est en aucun cas imputable à celui qui le possédait auparavant, et encore moins s’il est passé entre les mains de plusieurs autres acquéreurs ou bénéficiaire à titre gratuit.
Il est rappelé à l’instruction que lorsqu’on se sépare d’un bien, on n’est plus responsable de ce qui peut lui arriver.
La mère de Jean-Pascal COURAUD persiste à dire que cette Renault 21 était endommagée dans la nuit du 15 au 16 décembre 1997 et ses enfants aussi.
C’est un mensonge éhonté de sa part, de même qu’une manipulation grossière qui vise à dénigrer Francis STEIN et tenter de lui faire endosser la responsabilité d’un acte qu’il n’a pas commis.