à l’attention du gendarme instructeur romancier

« À qui profite la disparition de Jean-Pascal Couraud, alias JPK ?« 

QUI CONTINUE DE BENEFICIER EN 2022 DE CETTE DISPARITION ?

S’AGISSANT DE LA RENAULT 21 IMMATRICULÉE 83 007 P EXPERTISÉE LE 14 AOÛT 2006

La Direction des transports terrestres (DTT) vient de confirmer que la R 21 qui m’appartenait depuis le 20 décembre 1991 (date d’achat de véhicule neuf), n’était plus la mienne dès le 22 octobre 1999, puisque revendue à un tiers.

Le courrier de réponse ci-après- émis le 6 mai 2021, dûment enregistré n° 2311 MGT/DTT par la Direction des transports terrestres en atteste.

Cette Renault 21 a donc changé de mains 8 ans après que je l’ai acquise.

La justice a disposé de près de deux années avant que je la revende, pour la faire expertiser après la dénonciation de Françoise DREUILHE le 21, puis le 22 décembre 1997, soit moins d’une semaine après que son fils devienne introuvable.

La mère de « J P K » avait affirmé à deux commandants de brigade de Gendarmerie (celui de Punaauia puis celui de Papeete) que j’étais présent à son domicile la nuit du 15 au 16 décembre 1997, et que ma R 21 avait y avait été endommagée.

La mère de Jean-Pascal COURAUD, Françoise dreuilhe, avait insisté dimanche 21/12/1997 et lundi 22/12/1997 auprès de la gendarmerie pour que je sois convoqué afin d’être interrogé.

Je le fus et à leur demande, j’ai présenté ma Renault 21 à la brigade de Punaauia le 24 décembre 1997, veille de Noël, soit 48 h 00 après son intervention et sur demande des gendarmes de Punaauia.

Ma Renault 21 elle ne présentait aucun dégât.

Le doyen des juges d’instruction, 1er magistrat en charge de cette affaire dès décembre 1997, Jean-Bernard TALIERCIO avait également été informé le 11 février 1998 par Mme DREUILHE de ce que la portière de ma voiture avait été endommagée au domicile de « J P K »…

Il n’a manifestement pas jugé nécessaire d’investiguer.

le 14 août 2006, une expertise a été faite sur cette voiture qui ne m’appartenait déjà plus depuis près de sept ans, soit une durée équivalente à un an près à celle durant laquelle nous l’avions possédée !

En août 2006, elle appartenait à une tierce personne mais en aucun cas à moi. A la lecture du rapport et au vu des photographies qui l’illustraient, c’était une véritable épave remisée sous une bâche dans un jardin, et qui n’était plus en état de rouler.

Il est donc mensonger d’affirmer que cette voiture saisie pour expertise m’appartenait encore puisque je l’avais vendue deux ans après que Jean-Pascal COURAUD soit devenu introuvable, et qu’elle avait trouvé acquéreur.

Le raisonnement erroné tenu par les enquêteurs et magistrats que j’ai découvert avec stupéfaction en 2019, soit 13 ans après que cette expertise ait été effectuée , et sans que je sois inquiété durant tout ce temps là ne tient pas.

DONT ACTE.

« Sans commentaires« …