complément d’information consécutivement à l’article de garance colbert et antoine samoyeau de tahiti-infos * 3ème partie…

Suite de l’article https://affairejpk.net/2021/02/23/retour-sur-larticle-de-tahiti-infos-et-expose-des-reponses-relatives-a-des-incoherences-soulevees-par-les-enqueteurs/

Ces deux employés de Tahiti-Infos avaient révélé quelques contenus de l’arrêt de la chambre de l’instruction précisant qu’au terme de nouvelles commissions rogatoires menées après exploitation de [certains] éléments : « il apparaît que certains points importants n’ont pas été vérifiés », comme indiqué dans la synthèse faite en 2019 par les gendarmes. Or qui s’étaient vus délégués l’enquête par les juges successifs selon vous ? Eh bien l’unité d’élite de la gendarmerie nationale bien sûr – et sauf erreur – la section de recherches.

Tout va très bien… L’officier Atger commandant la section de recherches va tout mettre en œuvre pour les vérifier avec ses sous-officiers.

Les hypothèses présentées tant par les Quentin, Couraud, que l’officier de gendarmerie Atger n’établissent pas formellement que Francis STEIN ait pu commettre un crime au domicile de Jean Pascal Couraud ou ailleurs, ni qu’il ait pu participer avec l’épouse de JPK ou avec qui que ce soit d’autre à son « enlèvement, sa séquestration, puis son assassinat », ce qui démontrerait s’il y avait un commencement de preuve, une préméditation pour un tel acte.

Francis STEIN n’a jamais été commanditaire non plus, ni même témoin et a encore moins reçu de confidences de quiconque sur la commission d’un tel acte gravissime.

Il ne cessera de clamer son innocence.

Décembre 1997 / Janvier 2007 (9 ans après la « disparition de J P COURAUD !) POURQUOI les juges d’instruction successifs ont attendu si longtemps pour décider cette première garde à vue ?

Autre point, puisque Pierre Quentin (P. Q) dénonce Francis Stein au juge d’instruction en l’an 2000, pourquoi ne pas l’avoir convoqué dès la réception de sa lettre pour le confronter, et le cas échéant le placer sous statut de témoin assisté, sinon le mettre en examen ?

Il a dû assigner en justice Terii Paquier, gérant de l’Hebdo, hebdomadaire politique du Tahoera’a, qui fait sa une sur la responsabilité de la disparition de JPK en 1997, après que Me BARMONT, avocat de Tino MARA et Tutu MANATE, mis en cause par Vetea GUILOUX pour cette disparition, ait cité lors de sa plaidoirie au tribunal de Papeete, Pierre Quentin en lisant sa lettre, véritable FAUX TEMOIGNAGE

Comme en 2004 lorsque l’Hebdo du Tahoera’a accède fort opportunément à un des documents de l’information dirigée par le juge d’instruction de l’époque, un jugement sert de trame à l’article de Tahiti-Infos. Sans doute en publiera -t-il d’autre au gré des prochains rebondissements judiciaires, qu’ils soient ou non favorables à Francis STEIN…

https://affairejpk.net/2021/01/10/lorsque-quun-media-se-baisse-et-ramasse-quelques-feuilles-extraites-des-minutes-du-greffe-de-la-cour-dappel-de-papeete/

En 2004, la dénonciation de QUENTIN a servi à nourrir l’article non signé par des couards tout juste prêts et dans l’ anonymat à salir la réputation de Francis STEIN en exploitant cette cote du dossier d’instruction (sa photo en couleur et en plan rapproché illustre la page publiée dans ce torchon, avec un titre et un article accusateur). D’ailleurs, qui peut dire que QUENTIN ne l’a pas aussi diffusée à d’autres personnes que le juge d’instruction ?

Donc, le même type de fuite survient en octobre (voire dès fin septembre) 2020. Le média Tahiti-Infos, fort maladroitement, pense pouvoir revendiquer impunément ce qui n’est rien d’autre que le recel de violation du secret de l’instruction et/ou du secret professionnel, qui a forcément été permis par la violation du secret professionnel probablement au sein même de l’institution judiciaire. L’enquête en cours tentera de le déterminer…

https://affairejpk.net/2021/02/15/quelques-nouvelles-des-pages-tombees-du-camion-passant-devant-le-palais-de-justice-de-papeete/

(LA PLAINTE CONTRE X DÉPOSÉE PAR FRANCIS STEIN LE 23 DÉCEMBRE 2020 AUPRÈS DU PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE A ÉTÉ CONFIÉE À LA SECTION DE RECHERCHE DE LA GENDARMERIE POUR ENQUÊTE PRÉLIMINAIRE)

Après la question relative au véhicule Renault 21, les enquêteurs se mettent en tête de rechercher une GOLF immatriculée 3927 D, celle dont Francis STEIN disposait en qualité de secrétaire général de l’OTAC, mais qu’il utilisait exclusivement durant les heures de service et seulement pour motif professionnel. Ils n’en trouveront aucune trace après avoir pourtant interrogé le service des transports terrestres, le ministère de la culture, le secrétariat général du gouvernement, la Direction des affaires foncières (qui est chargée de réformer les anciens véhicules, économiquement irréparables), et l’Assemblée territoriale. Cette enquête pour retrouver tous les véhicules de marque Wolfswagen et de modèle GOLF ne permettra pas aux gendarmes de la localiser.

Aucune de trace de cette voiture, et pour cause, elle avait été réformée après avoir également servi à trois de ses successeurs, avant achat d’un nouveau véhicule.

Les enquêteurs en privilégiant cette nouvelle recherche démontraient ainsi que la Renault 21 de Francis STEIN malgré les lourdes investigations scientifiques réalisées et l’expertise du véhicule ne l’incriminaient nullement, tout comme son Jet sky.  

Pierre Q avait bien et en toute mauvaise foi, à travers sa dénonciation téméraire et mensongère altéré de manière frauduleuse la vérité en arguant de faits matériellement inexacts. En agissant ainsi avec sa complice, il a gravement et doublement porté atteinte à l’honneur de Francis STEIN puisque l’Hebdo avait relayé médiatiquement cette accusation.

Le préjudice moral en résultant est important et financièrement parlant, il a dû déjà faire face à quatre procès pour la diffamation qu’il a dénoncée à Tahiti en 2004 ( 1ère instance et appel infructueux, puis qu’il a gagné en cassation et en appel à Paris), deux autres instances à Tahiti (2019 et 2020), et deux autres actions sont en cours en cours depuis janvier 2021 à la Cour de Cassation et devant le Conseil Constitutionnel.

Pour étayer ce faux témoignage,

  • le 23 septembre 1998, QUENTIN l’homéopathe à la retraite effectue ces déclarations après avoir prêté serment !

ACCROCHEZ-VOUS, même les pires scénaristes ne feraient pas mieux pour pondre de pareilles bêtises !

LECTURE !

Le gendarme l’interroge et voici sa réponse :

« Que s’est-il passé entre 23 heures le soir et 1h20 le matin avec notamment des dégâts occasionnés à la charnière de la portière du passager de la voiture de M. STEIN sur le parking de la maison ? Y a-t-il eu une bagarre entre deux hommes au moment de la disparition de Jean-Pascal ? Ne pas avoir retrouvé le corps de Jean-Pascal disparu en pleine nuit malgré toutes les recherches provoque des suspicions.

(Le gendarme l’interrogeant sur la question de savoir si P. Q a constaté personnellement la dégradation sur la portière de M. STEIN) : « Au moment de partir, je l’ai raccompagné à sa voiture. C’est en approchant de sa voiture que j’ai vu que sa portière avant droit ne fermait plus, elle était déformée au niveau des gons et non pas au niveau de la serrure. M. STEIN l’a constaté en même temps que moi. Il était étonné de cette dégradation, il ne l’avait pas vu avant. Il n’était pas très bavard et n’a fourni aucune explication ».

« Pour moi la première idée a été que Jean-Pascal était resté aux alentours de la maison et s’est vengé sur la voiture de M. STEIN. A mon avis cette hypothèse ne tient pas car il faut une certaine violence pour déformer une portière de voiture et Jean-Pascal aurait eu d’autre possibilités d’embarrasser STEIN en lui crevant les pneus pas exemple. Je pense que Jean-Pascal était encore là quand nous sommes montés avec sa maman et que si nous avions été appelés plus tôt, nous l’aurions retrouvé. Il est possible également qu’en deux heures de temps STEIN a eu le temps de l’assommer de l’embarquer et de le jeter au large ».

[QUENTIN NE CESSE DE VARIER QUANT A L’AMPLEUR DES DEGATS HYPOTHETIQUES SURVENUS SUR LE VEHICULE DE FRANCIS STEIN…] !!!

Le 31 août 2000, P.Q alors âgé de 77 ans envoie un courrier au doyen des juges d’instruction chargé de l’enquête, Jean-Bernard TALERCIO, en utilisant son papier à entête de médecin alors qu’il est à la retraite (DOCTEUR PIERRE QUENTIN ANCIEN CHEF DES HOPITAUX DE PARIS – HOMEOPATHE – BP 337 (mention manuscrite rajoutée) PAPEETE (TAHITI) .

Il indique « qu’en prévision d’un report éventuel de son audition, il a rédigé une déclaration qu’il a voulu complète et sincère ».

L’objet de cette déclaration indique ce qui suit :

TEMOIGNAGE de Pierre QUENTIN pour servir à L’INSTRUCTION concernant la disparition de Jean-Pascal COURAUD.

Il rapporte au juge entre autres propos concernant Francis STEIN, sa « présence insolite ». « L’attitude de cet homme qui n’a pas participé à ses recherches de traces de [JPK]  dans le voisinage, attitude traduisant soit qu’il avait déjà fait des recherches (depuis quand ?), soit qu’il n’avait aucune illusion sur l’inutilité de ces recherches. Il était donc dans la maison depuis longtemps avant notre arrivée ».

P. Q fustige des faux témoignages recueillis par les gendarmes [ILS ONT DONC ACCES TRES RAPIDEMENT AUX PIECES DU DOSSIER D’INSTRUCTION VIA LEUR.S AVOCAT.S] et suggère que ceux qui prétendent que JPK est toujours en vie le font « probablement pour éviter que l’enquête s’oriente vers une autre hypothèse : celle d’une mort non plus par suicide mais d’une mort violente avec la complicité de Francis STEIN [!]. 

Il revient sur le véhicule de Francis STEIN et dactylographie son texte ainsi (déjà mentionné dans l’article précédent, mais tellement significatif de l’état d’esprit de P. Q) :  

En effet, le fait matériel qui m’a toujours été donné de réfléchir a été ma découverte sur le parking en présence de Francis STEIN sur le départ, d’un dégât sur la charnière, sur les gonds de la portière avant-droite (du passager donc) de la voiture de STEIN. La portière était entre-ouverte et il a été difficile en forçant de la maintenir fermée ».

« Je revois la surprise de STEIN découvrant au moment de partir que sa portière passager ne fermait plus parce qu’elle était faussée. Or il était monté à Te Maru Ata seul à bord et sans problème ».

« Et pour tordre des charnières de porte de Renault, il faut une grande force avec un instrument ; ou une bagarre entre hommes musclés. Et pour faire diversion, trois semaines plus tard, STEIN a présenté des factures de travaux sur des serrures de coffre sans aucun rapport avec la remise en état obligée de sa portière ».

Qui l’a réparée ? Quand ? Où ? »

ET IL CONCLUT SA DENONCIATION EN AFFIRMANT :

« Je maintiens que Francis STEIN [et l’épouse de JPK] sont responsables de sa disparition en cas de suicide. Et que dans l’hypothèse d’une mort accidentelle de celui-ci après bagarre dans la nuit du 15 décembre, ou pire l’hypothèse d’un meurtre avec dissimulation du corps, n’est pas à écarter » [!].

Signé : PQ

L’information menée par le juge d’instruction de l’époque n’a pas permis à Francis STEIN de prendre connaissance du contenu de cette lettre de dénonciation de QUENTIN, et ainsi d’être confronté à lui.

A présent qu’il est décédé en 2013, Francis STEIN n’est plus en mesure de porter plainte contre lui, par contre il réfléchit à l’opportunité de le faire contre celle et ceux qui lui ont survécut et qui quelque part se sont rendus complices de ce faux témoignage.

L’avoir empêché d’assurer sa défense sur cet élément essentiel de l’accusation l’a privé d’une confrontation devant les enquêteurs, puis devant le juge d’instruction avec QUENTIN, tout comme avec DREUILHE (la mère de JPK). Ces deux-là qui de manière inouïe n’ont eu de cesse de harceler ensemble l’appareil judiciaire pour accuser Francis STEIN lors d’auditions de même qu’en écrivant plusieurs courriers au juge pour le dénoncer.

Affronter leurs mensonges et la délation distillée année après année était sans doute TROP difficile à assumer face à Francis STEIN, puisque autant DREUIHLE QUE QUENTIN N’ONT JAMAIS EU LE COURAGE D’AFFRONTER SON REGaRD EN FACE DANS LE CABINET DU JUGE D’INSTRUCTION.

 QUENTIN en a pourtant eu l’occasion, puis il s’est dégonflé lors de la 1ère garde à vue de Francis STEIN en 2007. Il n’a pas eu le courage de venir à la brigade de recherche de Papeete alors qu’il s’y était engagé, et c’est DREUILHE (la mère de JPK chez qui il vivait) qui a dû décommander cette confrontation en indiquant « qu’il ne se sentait pas bien, et que par contre il proposait que Francis STEIN soit déplacé à la brigade de Punaauia, lui permettant de venir ». La garde à vue ne permettant pas de consacrer autant de temps à l’aller comme au retour, avec l’interrogatoire, cette confrontation n’a jamais eu lieu avant qu’il meure en 2013. Il en sera certainement de même avec la maman de Jean-Pascal…

De 1997 à 2013 que d’occasion manquées, d’autant que Francis STEIN ne connaissait pas toutes les infâmies déversées sur lui et les siens. Il n’a accédé aux pièces du dossier d’instruction qu’au troisième trimestre de l’année 2019, plusieurs semaines après sa mise en examen.

P. Q, le médecin à la retraite a aussi dicté (de tout son poids) au juge d’instruction ce qu’il devait faire.

  • Le 29 décembre 1999 Il avait adressé un 1er courrier en précisant qu’il « est le médecin de la famille COURAUD depuis 30 ans [soit depuis 1969], et divorcé lui-même, qu’il partage la vie de la mère des enfants COURAUD, Madame DREUILHE Françoise depuis plus de 20 ans au PK 15,8020 à Punaauia; et qu’il est donc qualifié (!!!) pour témoigner en ce qui concerne non pas tant les faits matériels entourant cette disparition que l’explication et les responsabilités de ce drame ».
  • Il suggère au juge d’instruction de faire « interroger les enfants » du couple de JPK « présents dans la maison le soir du drame » [!] « Leur témoignage [étant] essentiel pour connaître l’ambiance dramatique [!] de la soirée du15 décembre 1997 ».

 (Nous reviendrons aussi sur ces assertions de P. Q, car les enfants ont été auditionnés).

IL EST TOUT DE MÊME PRECISE QUE LES AUDITIONS DE CES DEUX ENFANTS ONT ÉTÉ RECUEILLIES ET DEVENUS ADULTES, LEURS TEMOIGNAGES CONFIRMENT L’ABSENCE DE FRANCIS STEIN CHEZ EUX AVANT D’ETRE APPELE EN PLEINE NUIT.