DE L’INVRAISEMBLABLE CHOIX DE LA FAMILLE COURAUD CONSISTANT A TENTER DE ME LIER EN 2008 AUX ACTES DE L’OBSCURE CELLULE DE MERCENAIRES DU GIP, APRES LE RÉQUISITOIRE DE NON LIEU DE 2007…

Retour sur certaines archives, retirées depuis, de leur site internet créé en 2004…

et données de presse que j’ai pu collecter tout au long de leurs publications dans divers médias du fenua

En 2007, soit 3 années après les révélations relatives à la cellule obscure de #TETOAARAI / #GIP, groupement d’intervention de la Polynésie (française) fondé par et pour l’ancien président du gouvernement de la Polynésie française, et donc 6 ans avant la mise en examen du chef de service concerné et de 2 de ses agents ( en juin et juillet 2013), alors même qu’au mois de janvier de cette même année (2007), je ressortais libre d’une 1ère garde à vue de près de 48 heures, sans aucun dispositif contraignant particulier :

Philippe, le frère aîné de Jean-Pascal COURAUD affirmait pourtant que j’avais participé avec ces 3 mercenaires au dispositif mis en place autour de son frère durant la période précédant la disparition de son frère et ayant conduit à son meurtre !

( voir articles : RETOUR SUR LE MAIL ACCUSATEUR REÇU DU FRÈRE AÎNÉ DE JPK | Au-delà des apparences, l’affaire JPK ; et Démonstration du mensonge éhonté du frère aîné de JPK, partie civile, qui pour des raisons incompréhensibles m’accuse à travers cet e-mail, de complicité avec le G I P, et bizarrement le juge d’instruction en a tenu compte | Au-delà des apparences, l’affaire JPK )

Dans un courrier adressé par Philippe COURAUD à 2 juges du TGI de Paris (Tribunal de grande instance) en date du 28 août 2007, relatif à l’existence d’un « compte bancaire ouvert dans une banque japonaise » supposément au nom de feu l’ancien président de la République Jacques CHIRAC et « mentionné dans certains documents trouvés chez le général RONDOT », il affirme ce qui suit :

Morceaux choisis :

1er EXTRAIT DU COURRIER ADRESSE PAR PHILIPPE COURAUD :
* POUR INFORMATION, QUELQUES EXTRAITS DU REQUISITOIRE DEFINITIF DE NON-LIEU DEFINITIF

« II est remarquable que les gendarmes aient mis toute leur énergie sans désemparer à faire des enquêtes à propos de simples conversations portant elles-mêmes sur des conversations entendues ou répétées. Après un tel battage médiatique et la propagation importante de rumeurs, on ne peut plus vérifier l’origine de ce qui n’est plus que bavardages stériles sur des faits dont personne n’a été témoin« .

Conclusion générale
« En dépit des multiples investigations diligentées sous l’autorité de quatre magistrats et malgré tous les efforts accomplis pour découvrir la vérité, aucune infraction pénale n’a été mise en évidence« .

Et il a été procédé de façon exhaustive :

  • à l’audition, sous le régime de la garde à vue de toutes les personnes susceptibles d’apporter des éléments à l’enquête
  • aux auditions de tous membres de la famille, amis, confrères de Jean-Pascal COURAUD, voisins, membres de la cellule de renseignements, membres du GIP, personnalités politiques, enquêteurs, avocats, magistrats
  • à des confrontations, mises en présence, reconstitutions
  • à des transports sur les lieux
  • à des perquisitions et vérifications de patrimoines sans que l’on puisse en tout état de cause établir un lien entre ces patrimoines ou des mouvements financiers et la présente information
    – à la mise sous écoutes téléphoniques de tous les protagonistes importants

– à l’audition systématique de toutes les personnes citées par la partie civile et de tout témoin.
Qu’il écrive, qu’il fasse une déclaration publique ou privée et même s’il ne s’agit que de témoins très indirects faisant état de rumeurs, de déclarations fantaisistes ou de propos d’après boire et procédé à chaque fois à des enquêtes de vérification complètes.

Il apparaît aujourd’hui que plus aucune investigation ne peut de façon raisonnable, loyale et sérieuse être effectuée qui puisse encore être utile à la recherche de la vérité.
L’information n’ayant pas permis d’établir l’existence d’une infraction pénale, non-lieu sera requis en conséquence.

III / RÉQUISITIONS DE NON-LIEU :
Attendu qu’il ne résulte pas de l’information des faits constitutifs d’assassinat ou de complicité d’assassinat :
Vu les articles 175 et 177 du Code de Procédure Pénale, Requiert qu’il plaise à Monsieur le Juge d’instruction dire n’y avoir lieu à suivre contre quiconque de ces chefs.

Fait au Parquet. le 9 novembre 2007
P/ le Procureur de la République
Danièle CHUR
Vice-Procureur

  • POUR MÉMOIRE , DES SONORISATIONS (NOUVELLES MISES SOUS ÉCOUTES TÉLÉPHONIQUES DE DEUX DES MEMBRES DE L’OBSCURE CELLULE DE MERCENAIRES DU GIP) RÉALISÉES EN 2013 CONSTITUÈRENT AUTANT D’INDICES GRAVES ET CONCORDANTS PERMETTANT LA MISE EN EXAMEN DE TROIS PERSONNES DONT LES TENTATIVES SUCCESSIVES DE DEMANDES D’ANNULATION PAR LEURS AVOCATS RESPECTIFS ÉCHOUÈRENT JUSQU’A PRÉSENT , ET CE MALGRÉ L’ANNULATION DESDITES SONORISATIONS PAR LA COUR DE CASSATION EN 2015 !

SUITE DE LA CORRESPONDANCE DE LA PARTIE CIVILE PUBLIÉE SUR SON SITE INTERNET

2eme EXTRAIT DU COURRIER ADRESSÉ PAR PHILIPPE COURAUD :

3eme EXTRAIT
4eme EXTRAIT
5eme EXTRAIT
6eme EXTRAIT
7eme EXTRAIT
8eme EXTRAIT
9eme EXTRAIT

Entre temps, et jusqu’en juin 2019, les enquêteurs ont tout tenté pour m’extorquer des aveux, en essayant de surcroît de me faire reconnaître une proximité avec les trois premières personnes mises en examen depuis bientôt 9 ans, sans succès, puisqu’une telle hypothèse est non seulement une atteinte à mon intégrité, mais surtout une insulte à mon endroit.

« À qui profite la disparition de Jean-Pascal Couraud, alias JPK ?« 

QUI CONTINUE DE BENEFICIER EN 2022 DE CETTE DISPARITION ?

a suivre…