Cette affaire est scandaleuse !

Il a été annoncé en 1997 que Jean-Pascal Couraud s’était suicidé. Sa famille en était convaincue. Le Tribunal de Papeete avait conclu au suicide et prononcé un non-lieu en 2002.

Cependant, son corps n’a jamais été retrouvé.


Ensuite, l’hypothèse de son départ à l’étranger a été évoquée sans qu’aucune trace du mode de transport, contrôlable par les autorités, ne soit déterminée (avion, bateau).

Le seul fait reconnu par la justice a été la condamnation EN 2002 de JPK pour abandon de famille.

Palais présidentiel Ancienne Caserne Broche (Ave Bruat, rebaptisée Ave Pouvanaa a O’opa)


Coup de théâtre en 2004 !

Le fils d’un des employés de Gaston FLOSSE déclare au procureur qu’il a été témoin de l’assassinat de JPK.

Les agents de la DGSE qui dirigeaient le service occulte de renseignement de Gaston FLOSSE créé à la Présidence en mai 1997 sont une réalité.

DGSE Caserne des tourelles / Bld Mortier – Paris

Mais qui était réellement JPK ?

Qui était JPK pour que le juge d’instruction en charge de cette mystérieuse affaire, accompagné du procureur du Tribunal de Tahiti, découvre en 2008 lors d’une perquisition à la DGSE à Paris, qu’il existe une trentaine de dossiers frappés « SECRET DEFENSE » dans ses archives concernant JPK.

La DGSE refuse encore aujourd’hui de déclassifier 13 dossiers en sa possession concernant Jean-Pascal COURAUD, alias JPK !

Donc les magistrats n’ont jamais eu accès aux documents contenus dans ces dossiers.

Dans tous les cas, le dossier judiciaire de JPK est une affaire d’État.

Comment est-il possible que le nom de Jean-Pascal Couraud soit cité, et lié à autant de dossiers, de cotes, de documents top-secret ?


JPK a-t-il trahi la France ?


La DGSE a-t-elle considéré qu’il était coupable d’intelligence avec l’ennemi en délivrant des informations à une agence de renseignements étrangère ?

Jean-Pascal Couraud était-il un agent double ?

Cela expliquerait-t-il l’origine de son absence ?

Cette affaire factuellement d’État, où la justice depuis juin 2019 essaie de faire croire à un crime passionnel pour justifier le vide sidéral du dossier est un scandale.

Saura-t-on vraiment un jour qui était JPK ?

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