LE PLUS VIEUX ET SCANDALEUX DOSSIER JUDICIAIRE
DE FRANCE : 27 ans !

J’accuse les politiques polynésiens autonomistes ou indépendantistes d’avoir tué une deuxième fois Pouvanaa Oopa, en ne dénonçant pas que Francis Stein est victime d’une affaire d’État, dans le dossier judiciaire de la « disparition » de J-PK.


En ma qualité d’ancien co-fondateur, secrétaire général, puis président de la Ligue des droits de l’homme de Polynésie, devenue Ligue des Droits Humains de Polynésie ; et de membre du Comité d’éthique de Polynésie, j’ai combattu, pendant des dizaines d’années, le système mafieux socio politique de Gaston Flosse, président de la Polynésie.

Par ailleurs, anti-nucléaire bien avant le début des essais nucléaires réalisés à Mururoa, je fais partie des rares personnes qui connaissent le mieux l’affaire de la « disparition » de Jean-Pascal Couraud alias J-PK, journaliste que j’ai bien connu en sa qualité d’opposant au système politico-mafieux de Gaston Flosse en Polynésie.


Il est important, avant d’affirmer ma synthèse sur cette affaire judiciaire de 27 ans d’âge, de dire au sujet de la Justice française, que dans l’exercice de ses fonctions un magistrat ne ment pas et ne magouille pas. Il peut commettre des erreurs. Donc je rappelle à tous, que lui reprocher autre chose que d’avoir commis des erreurs d’appréciation, expose tout justiciable à être poursuivi pour outrage à magistrat.

De fait, la magistrature est soumise en permanence aux mensonges de la grande majorité des justiciables ou de la mauvaise foi des avocats qui refusent eux-mêmes de reconnaître leurs propres erreurs d’appréciation.


Cet ensemble de contradictions morales, crée chez les professionnels de l’institution judiciaire, une rigidité sur la forme de la mise en état d’un dossier, et une schizophrénie du fond de la même affaire.


L’affaire JPK fait partie des absurdités judiciaires françaises qui tournoie par son vide nébuleux. En vérité, depuis plus de deux décennies, le dossier passe entre les mains de juges d’instructions et d’avocats qui n’arrivent jamais à prouver d’origine criminelle de cette affaire.
Factuellement, cette affaire est au départ un drame banal de couple qui était en train de se séparer, malheureusement cela a dégénéré en tragédie, suite aux rumeurs par un pied nickelé en 2004, employé dans une officine occulte de Gaston Flosse président de la Polynésie.


Malheureusement dans cette affaire « de disparition », le premier juge d’instruction a omis de réaliser certains actes judiciaires, certaines confrontations, certaines mises sous scellés, et de procéder à la vérification des dires de tous ceux qui étaient présents le soir de la dite disparition de Jean-Pascal Couraud alias JPK, mais il a surtout omis de faire une enquête sociale sur ce disparu.

Donc, depuis 26 ans la confusion domine les instructions des six derniers juges en charge de ce dossier.
Pourtant, les indices d’un abandon de famille aidé par certains de ses membres, pour des raisons de survie de JPK, sont probables lorsque nous connaissons le dossier.


D’ailleurs le juge des affaires familiales a bien prononcé en novembre 2002 le divorce du couple Couraud pour abandon de famille par J-PK à ses torts exclusifs.


Malheureusement pour la morale, nous sommes passés dans ce dossier judiciaire, d’un suicide à l’abandon de famille, et des années plus tard à l’assassinat de JPK par des gros bras de l’officine occulte des basses œuvres de Gaston Flosse.


D’ailleurs, plusieurs juges d’instructions n’arrivant à rien prouver dans cette affaire ; un vice-procureur demanda en novembre 2007 un non-lieu pour manque d’indices concordants.

Bizarrement, un sixième juge d’instruction ne connaissant pas grand-chose à l’affaire, décide, suite aux mensonges émis par la femme de JPK et son amant, qui cachaient quelques récréatifs week-end sans lendemain, de les mettre en examen le 27 juin 2019 pour assassinat, et cela bien que leurs mensonges, n’aient strictement rien à voir avec ladite disparition de Jean-Pascal Couraud.
Pour mémoire un de ses prédécesseurs a refusé en 2007 le non-lieu demandé par le parquet.


Pour moi, les juges d’instruction ont été instrumentalisés par les enquêteurs, qui ont fini par en faire une affaire d’État, car il était notoire que le lien entre J-PK et Stein était une farouche opposition au système politique mafieux de Gaston Flosse, et leur adhésion à la politique de Boris Léontieff qui a étrangement disparu dans un crash d’avion pendant une campagne électorale en 2002.
J-PK, quelques mois avant de disparaître en décembre 1997, annonçait publiquement qu’il détenait un dossier qui allait exploser Gaston Flosse et le président de la République Jacques Chirac ; mais, sentant sa vie en danger il avait demandé en juillet 1997 à son avocat de déposer une plainte au sujet des affaires explosives.


Les gros bras sont maintenus en examen depuis 2013. Le 6ème juge reprenant le dossier d’instruction a imaginé une relation entre les gros bras et les amants mais incroyablement sans dire laquelle.


Pour information ce juge est interdit d’instruction de tout dossier et a été renvoyé en Métropole. Aujourd’hui, dans l’attente de la prise en charge du dossier par un 7e juge, le scandale continue dans un vide sidéral, pour ne pas dire une nébuleuse judiciaire.

Bizarrement, son avocat n’a déposé la plainte que trois mois après la disparition de J-PK (en mars 1998). D’ailleurs l’avocat a fini par craindre pour sa vie et cette plainte n’a pas eu de suite. Elle a fini à la poubelle.

Aujourd’hui j’affirme que la classe politique polynésienne sait que la disparition de J-PK est une affaire d’État, qui pour se dédouaner essaie de faire croire que la disparition de J-PK est un crime passionnel commis par Francis Stein, qui était fondateur et trésorier du syndicat des cadres de la fonction publique, et un politique apprécié pour son intégrité, mais surtout un farouche opposant aux politiques mafieuses en Polynésie. Donc, Francis Stein était un homme dangereux pour certains leader politiques. Et Comme pour Pouvanaa Oopa, aucun politicien ou politicienne polynésien n’avait intérêt de défendre l’innocence de ce polynésien intègre accusé de crime pour le paralyser politiquement à vie.


La lâcheté est un suicide permanent.


J’accuse la classe politique de Polynésie d’avoir tué Pouvanaa Oopa une deuxième fois.

MATHIUS TO’ERAU LE SURÉVISTE

Version ANGLAISE – ENGLISH version

THE J-P.K JUDICIAL CASE, THE OLDEST AND SCANDALOUS JUDICIAL CASE
FROM FRANCE:

27 years old!

I accuse Polynesian autonomist or independence politicians of having killed Pouvanaa Oopa a second time, by not denouncing that Francis Stein is the victim of an affair of state, in the legal file of the “disappearance” of JPK.
In my capacity as former co-founder, general secretary, then president of the Polynesian Human Rights League, which became the Polynesian Human Rights League; and as a member of the Polynesian Ethics Committee, I fought, for decades, the socio-political mafia system of Gaston Flosse, president of Polynesia.
Furthermore, anti-nuclear well before the start of the nuclear tests carried out in Mururoa, I am one of the rare people who know best the affair of the « disappearance » of Jean-Pascal Couraud alias JPK, a journalist whom I knew well in his capacity as an opponent of the political-mafia system of Gaston Flosse in Polynesia.
It is important, before stating my summary of this 27-year-old legal case, to say about French justice, that in the exercise of his functions a magistrate does not lie and does not scheme. He can make mistakes. So I remind everyone that reproaching him for anything other than having made errors of assessment exposes any litigant to being prosecuted for contempt of court. In fact, the judiciary is constantly subjected to the lies of the vast majority of litigants or the bad faith of lawyers who themselves refuse to recognize their own errors of assessment.
This set of moral contradictions creates, among the professionals of the judicial institution, a rigidity in the form of the preparation of a case, and a schizophrenia of the merits of the same case.
The JPK affair is one of the French judicial absurdities which swirls through its nebulous void. In truth, for more than two decades, the case has passed through the hands of investigating judges and lawyers who have never been able to prove the criminal origin of this case.
In fact, this affair was initially a banal drama of a couple who were in the process of separating, unfortunately this degenerated into tragedy, following rumors by a nickel-plated foot in 2004, employed in an occult spy agency of Gaston Flosse, president of Polynesia.
Unfortunately in this « disappearance » case, the first investigating judge failed to carry out certain judicial acts, certain confrontations, certain places under seal, and to verify the statements of all those who were present on the evening of the said disappearance of Jean-Pascal Couraud alias JPK, but above all he neglected to carry out a social investigation into this missing person. So, for 27 years, confusion has dominated the instructions of the last six judges in charge of this case.
However, indications of family abandonment aided by some of its members, for reasons of J-PK’s survival, are probable when we know the file.
Moreover, the family affairs judge pronounced in November 2002 the divorce of the Couraud couple for abandonment of the family by J-PK at his sole fault.
Unfortunately for morality, we have moved in this legal case, from a suicide to the abandonment of the family, and years later to the assassination of JPK by big guys from the occult spy agency of the dirty works of Gaston Flosse .
Moreover, several investigating judges were unable to prove anything in this case; In November 2007, a deputy prosecutor requested a dismissal of the case for lack of corroborating evidence.

Strangely, a sixth investigating judge, not knowing much about the case, decided, following the lies uttered by J-PK’s wife and her lover, who hid a few recreational weekends without a future, to indict them on June 27, 2019 for assassination, and this although their lies have absolutely nothing to do with the said disappearance of Jean-Pascal Couraud.
For the record, one of his predecessors refused in 2007 the dismissal requested by the prosecution.
The big arms have been kept under investigation since 2013. The 6th judge taking up the investigation file imagined a relationship between the big arms and the lovers but incredibly without saying which one.
For information, this judge is prohibited from examining any case and has been sent back to mainland France. Today, while waiting for the case to be taken over by a 7th judge, the scandal continues in a spacey void, not to say a judicial nebula.
For me, the investigating judges were exploited by the investigators, who ended up making it a state affair, because it was notorious that the link between JPK and Stein was a fierce opposition to the mafia political system of Gaston Flosse, and their support for the policies of Boris Léontieff who strangely disappeared in a plane crash during an electoral campaign in 2002.
J-PK, a few months before disappearing in December 1997, publicly announced that it held a file that would explode Gaston Flosse and the President of the Republic Jacques Chirac; but, feeling his life in danger, he asked his lawyer in July 1997 to file a complaint about the explosive affairs. Oddly, his lawyer only filed the complaint three months after JPK’s disappearance (in March 1998). Moreover, the lawyer ended up fearing for his life and this complaint was not pursued. It ended up in the trash.
Today I affirm that the Polynesian political class knows that the disappearance of J-PK is a state affair, which to clear itself of customs tries to make believe that the disappearance of J-PK is a crime of passion committed by Francis Stein, who was founder and treasurer of the union of civil service executives, and a politician appreciated for his integrity, but above all a fierce opponent of mafia policies in Polynesia. So, Francis Stein was a dangerous man for some political leaders. And As for Pouvanaa Oopa, no Polynesian politician had any interest in defending the innocence of this upright Polynesian accused of crime to politically paralyze him for life
I accuse the political class of Polynesia of having killed Pouvanaa Oopa a second time.
Cowardice is permanent suicide.

MATHIUS TO’ERAU

Tendances