A l’ATTENTION DES GENDARMES ENQUÊTEURS ET AMIS DE GASTON FLOSSE

VOICI LA DEMONSTRATION FACTUELLE DE LA MANIPULATION DE L’INSTRUCTION, POUR ME METTRE EN EXAMEN.

Comment peuvent-ils affirmer que j’ai eu de la sympathie de près ou de loin avec des mercenaires au service exclusif du président du pays Gaston FLOSSE ?

Chers amis, d’après-vous, dans ce dossier particulier relatif à la disparition de JPK – Jean-Pascal Couraud, la justice est-elle indépendante ou pas ?

Contrairement aux affirmations des gendarmes enquêteurs et à leur construction intellectuelle et à celles du juge d’instruction, non seulement je n’étais pas l’ami du président, mais j’étais considéré comme l’un de ses « ennemis » puisque engagé politiquement dans l’opposition centriste incarnée par le Fetia Api.

En voici une preuve accablante qui contredit l’accusation.

D’autres seront fournies dès que nécessaire.

EXTRAITS et fichier téléchargeable.

Observation : Aucune lettre de mission ne m’a jamais été notifiée par la ministre en charge de la culture en 1997, contrairement à ce qui est prétendu dans le courrier ci-après.

LE SERVICE D’ETUDE ET DE DOCUMENTATION DE LA PRESIDENCE ME SURVEILLAIT DEJA, ENREGISTRAIT MES TELECOMMUNICATIONS, ET TRANSCRIVAIT MES PRISES DE PAROLE…

L’intégralité du courrier présidentiel signé mais ni enregistré, ni notifié, et pourtant une bonne âme m’en a transmis une copie. Mauru’uru.

POUR RAPPEL :

L’année 1996 a marqué le début de mes ennuis avec FLOSSE. Le FETIA API fondé à la veille des élections territoriales de 1996, Boris LEONTIEFF élu, la chasse aux sorcières débute…

EXIT DE LA DIRECTION DE L’OFFICE TERRITORIAL D’ACTION CULTURELLE EN MARS 1997 (après 10 années de service), soit 10 mois après les élections territoriales...

Angelina BONNO, ministre fraîchement nommée déclenche en représailles contre moi un audit comptable du cabinet HAROUT (Michel), ex associé de Karl MEUEL. 10 années de gestion à la direction de l’OTAC (novembre 1985- mars 1997) sont passées au crible et n’aboutissent qu’au constat d’une saine gestion sous le contrôle d’un conseil d’administration, d’un commissaire de gouvernement pour veiller à la légalité des actes, et du contrôle des dépenses engagées avec au final le payeur des établissements publics qui effectue les derniers contrôles avant paiement. Toutes mes notations en attestent, sauf bien sûr celle infligée par A BONNO en deçà de la grille existante...

L’URGENCE INVOQUEE POUR PROCEDER A MON LICENCIEMENT…

EXTRAITS :

L

En service commandé, « Angie » qui n’a rien d’un ange, avait déjà sollicité du président du gouvernement « Golden FOX » une inspection administrative de ma gestion par l’IGAT – Inspection générale de l’administration territoriale.

M. Guy SEM éminent juriste avait effectué cette inspection et à ce moment là, j’ai transmis à ce haut fonctionnaire les éléments dévoilant certains agissements de plusieurs ministres successivement en charge de la culture qui ont un caractère abusif en termes d’emploi de fonds publics… Je les avais pourtant transmis également au successeur de FLOSSE passé secrétaire d’Etat pour le Pacifique et remplacé par Jacky TEUIRA en février 1987, puis à Alexandre LEONTIEFF en décembre 1987…

Là encore, le constat était sans appel. Rien d’anormal concernant ma gestion.

Après avoir refusé d’être encarté au Tahoera’a en 1986 par Yvette O’OPA qui en vain me tendit celle comportant mon nom et signée par leur gourou, elle me prédit les pires problèmes. Ils s’avérèrent nettement en dessous de la réalité vécue durant toutes ces années…

Donc me présenter en 1996 aux élections territoriales était suicidaire pour un chef d’établissement public mais je le fis. Résultat : muté à la direction de la culture puisque n’ayant commis aucun acte de mauvaise gestion à l’OTAC. Ayant refusé catégoriquement de démissionner du poste de secrétaire général de l’OTAC sous pression politique, mon débarquement eu tout de même lieu, déguisé en « promotion »… au mois de mars 1997.

En juillet de la même année, mon salaire n’était toujours pas versé (je n’étais donc pas déclaré à la CPS !) et je dus me résoudre à saisir le tribunal administratif présidé à l’époque par Alfred POUPET. Raoulx AUREILLE, magistrat, condamna la Polynésie française à m’indemniser.

Le pire était à venir, mais c’est une autre histoire … par contre, en mai 1996, le Vice président était ministre des ports, et Jonas TAHUAITU, ministre de l’équipement en charge de la flottille administrative qui allait être transformée en Gaston Intervient Partout.

L’UN DES MOTIFS DE LA TENTATIVE AVORTEE POUR ME LICENCIER, OUTRE LE FAIT QUE JE ME SOIS PRESENTE AUX ELECTIONS TERRITORIALES EN MAI 1996, PUIS AUX ELECTIONS LEGISTATIVES EN MAI 1997, ET EN MILITANT ACTIVEMENT POUR CONTRER L’INSTALLATION DU 1er CENTRE D’ENFOUISSEMENT TECHNIQUE DANS LA VALLEE DE LA PUNARUU.

OUI PUNAAUIA, J’AI MENE CE COMBAT ET NOUS AVONS GAGNE GRACE AUX 844 ADMINISTRES DE LA COMMUNE QUI ONT EU LE COURAGE DE SE LEVER ET DE SOUTENIR MON INITIATIVE, AVEC D’AUTRES. FORT DE CETTE PETITION, LE TAVANA JACQUES VII A FORMULE UN AVIS DEFAVORABLE POUR LA REALISATION DE CE CET

EXTRAIT ET DOCUMENT TELECHARGEABLE

Pétition pour dire NON au CET de PUNARU’U, communiqués, droits de réponse

À SUIVRE…