A T-ON ESSAYE DE M’ELIMINER EN 2002 TOUT COMME JPK EN 1997 ?

LES COUPABLES SE RECONNAÎTRONT !

Le 27 novembre 2002, dans la descente de la RDO – route de l’OUEST – dans le sens Pamata’i vers Punaauia, je perçois un drôle de bruit sous mon véhicule… Le lendemain, dans le sens Punaauia vers Papeete IDEM… Deux jours plus tard, le phénomène s’aggrave et j’immobilise mon véhicule, un vieux 4X4 ROCKY-DAIHATSU, immatriculé 49 308 P.

Le lundi 2 décembre 2002, après vérification du train avant, je constate avec stupéfaction que plusieurs boulons des deux roues avant sont en partie dévissés, sauf 3 sur les 10 (5 par roue) ! Je décide de porter plainte pour sabotage de mon véhicule à la gendarmerie de Punaauia. Le gendarme me délivre un récépissé de plainte. Quelques jours plus tard, le commandant de la brigade considérant qu’aucune infraction n’est réellement constituée, donne des instructions pour que je sois ré entendu dans le cadre d’une procédure de RENSEIGNEMENT JUDICIAIRE et pour que je restitue le 1er récépissé de dépôt de plainte (!) qui m’avait été délivré, qui visait la dégradation de mon véhicule. L’hypothèse d’une tentative de vol de roues me fut même suggérée !

Pour information, il semblerait que le juge d’instruction n’ait pas pris en considération ces éléments pour se convaincre de l’impossibilité de me rattacher aux agents faisant partie du système mafieux mis en place à l’époque et finalement démantelé par l’alternance politique avec la cascade de procès intentés devant la justice.

Qui a bien pu vouloir attenter à ma vie en novembre 2002 ?

SURVEILLE ET VICTIME DE FILATURES PAR DES MEMBRES D’UNE CELLULE OBSCURE RATTACHEE A LA PRESIDENCE DU GOUVERNEMENT, PUIS DISSOUTE EN 2004 LORS DE L’AVENEMENT DU 1er « TAUI », J’EUS L’OCCASION, UNE FOIS NOMME MINISTRE DU DIALOGUE SOCIAL , DE CONSTATER LA PRESENCE DE VEHICULES SIMILAIRES GARES AU SOUS-SOL DE LA PRESIDENCE. PLUS TARD, LA REVELATION DE L’EXISTENCE DE VEHICULES BANALISES AVEC DOUBLE IMMATRICULATION DANS LE PARC AUTOMOBILE DE LA PRESIDENCE NE LAISSAIT PLUS BEAUCOUP DE PLACE AU DOUTE, PERMETTANT DE METTRE EN CORRELATION LES PRATIQUES D’ESPIONNAGE CONTRE LES OPPOSANTS COMME TANT D’AUTRES, ET QUI ENTRAINERENT DES CONDAMNATIONS.

CLASSEMENT SANS SUITE PAR LE PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE !

DECIDEMENT CETTE ANNEE 2002 FUT VIOLENTE POUR LE FETIA API ET CERTAINS DE SES MEMBRES : Le 23 MAI 2002, UNE PARTIE DE NOTRE ETAT-MAJOR COMPOSE D’ELUS TERRITORIAUX ET MUNICIPAUX DISPARAISSAIT EN PLEINE CAMPAGNE DES LEGISLATIVES DURANT UN VOL AUX TUAMOTU, J’ETAIS REVOQUE DE MES FONCTIONS, ET A MINIMA JE SUBISSAIS DES MANOEUVRES D’INTIMIDATIONS.

Pour mémoire, le Conseil des ministres présidé par Gaston FLOSSE a mis fin à mes fonctions de chef de service de la culture et du patrimoine de manière parfaitement discrétionnaire par arrêté n° 1199 CM du 23 septembre 2002 simultanément à la nomination de mon successeur, tout comme ce fut le cas le 7 mars 1997 (par arrêté n° 260/CM), lorsque je fus limogé du poste de Secrétaire général de l’OTAC après y avoir été nommé le 21 novembre 1985 (Arrêté n° 1118/CM).

Mais ce sujet sera traité dans le prochain article.