Retour au commencement de cette #affairejpk, avant même qu’il ne soit devenu introuvable…

À QUI PROFITE LA DISPARITION DE JPK ? Quel serait le mobile, si crime il y à bien eu ?

JPK, incontrôlable, luttait contre la corruption, et le texte figurant sur la plaque que sa mère a fait installer en bonne place au cimetière de Nu’uroa – Pointe des pêcheurs est très explicite sur leurs convictions partagées avec les membres de l’association créée pour leur venir en soutien afin de faire condamner les coupables qu’ils désignent depuis plusieurs années, devant la cour d’@ssises de Papeete.

Pour ma part, n’ayant rien à voir, ni de près, ni de loin dans l’absence de JPK depuis la soirée ou la nuit du 15 au 16 décembre 1997, alors même qu’un témoin capital a discuté avec lui à PIRAE le 25 décembre 1997 et quoi que mis en examen, je revendique la présomption d’innocence liée à mon statut de justiciable et ne cesserai de le faire.

La corruption est toujours pratiquée largement au sein de notre collectivité ultra marine. Cette situation a perduré durant et depuis plusieurs décennies. Pour s’en convaincre, alors même que les condamnations d’hommes politiques n’en finissent pas d’accaparer les Colonnes à la Une des médias locaux comme nationaux jusqu’à très récemment, certains électeurs s’entêtent à les maintenir coûte que coûte aux postes décisionnels les plus importants…

QUI POUVAIT DONC TIRER PROFIT DE CETTE DISPARITION EN DÉCEMBRE 1997 ?
Devant la chambre de l’instruction en juin 2020, j’ai bien entendu évoqué les documents classifiés secret défense que la partie civile, donc la famille de Jean-Pascal Couraud, semblait s’être résignée avec ses avocats à ne plus réclamer pour la manifestation de la vérité, ayant précédement essuyé des refus.

Puis au mois de juillet 2021, j’ai demandé à mon avocat de transmettre plusieurs demandes d’actes auprès du juge d’instruction, ce qui n’avait jamais été fait avant de me présenter devant la chambre de l’instruction sur convocation par l’avocate générale Brigitte Angibaud.

Parmi ces demandes d’actes, figuraient des demandes de confrontations directes avec des membres de la famille du « disparu », et celle consistant à faire saisir la Commission Nationale compétente pour obtenir la déclassification de ces documents « top secret » mis sous scellés en juin 2008 au siège de la DGSE (services secrets français dépendant de la ministre des armées Florence PARLY), par l’un des 6 juges d’instruction successivement chargé de cette affaire Couraud.

N B : Depuis 13 ans [ juin 2008 ], 19 documents susceptibles de révéler des informations capitales au sujet de l’ #affairejpk restent sous scellés alors même qu’en 2021, la Loi sur l’accès aux archives dites sensibles a été renforcée… laissant entrevoir peu de possibilités que ces documents soient révélés un jour (tout comme de multiples documents classifiés liés aux essais nucléaires sur notre Fenua qui grouillait aussi d’espions pour protéger les intérêts supérieurs de la France) au nom de la Défense nationale, si ce n’est la raison d’État.

Selon la loi, ces archives sont communicables de plein droit dès l’expiration d’un délai de 50 ou 100 ans. Je vous laisse imaginer la suite !

Un arrêté du 9 août 2021, publié au Journal officiel porte approbation d’une nouvelle instruction générale interministérielle sur la protection du secretdéfense.

Résultat, toutes mes demandes d’actes ont été rejetées par le juge d’instruction en août 2021 dans l’attente de la décision de la Cour de Cassation. Cette juridiction suprême qui a justement décidé que je devais repasser devant la chambre de l’instruction qui avait rejeté ma demande d’annulation de ma mise en examen.

J’attend d’être auditonné depuis 2 ans puisque après ma première comparution en juin 2019, je n’ai pas été convoqué par le juge d’instruction, alors qu’aucun texte ne semble figer l’instruction malgré mon recours fructueux devant la Cour de Cassation, sauf à considérer que je doive impérativement repasser devant la chambre de l’instruction, au risque que, non satisfait éventuellement de la décision qu’elle pourrait arrêter, je dépose un nouveau pourvoi… devant la Cour de Cassation.

Au-delà des apparences / http://www.affairejpk.net

Cependant, le juge Frédéric Vue, dernier des magistrats instructeurs actuellement en charge de cette information judiciaire, nous a informé avec mon avocat fin août 2021, avoir sur demande de la partie civile, saisi l’autorité compétente, répondant ainsi par anticipation » à ma demande pour accéder à ces archives secrètes.

HURITUA