
« J P K » qui a abandonné femme et enfants en décembre 1997 était un employé de la mairie d’Arue depuis six ans et non pas un journaliste comme l’ont prétendu les médias de Polynésie, repris par ceux de France métropolitaine et par d’autres du pacifique francophone et anglophone.
Il n’était déjà plus journaliste depuis une dizaine d’années lorsqu’il est devenu introuvable.
Donc les investigations qu’il menait à titre personnel à cette époque et les informations qu’il détenait n’étaient en aucun cas couvertes par le secret [des sources] de la presse puisqu’il n’était pas journaliste.
Sa démarche obsessionnelle pour ne pas dire plus, contre le président du gouvernement de la Polynésie française et celui de la République Française relevait-elle d’intérêts particuliers occultes ?
Est-ce pour cette raison que la DGSE refuse toujours de déclassifier une série de documents classés « SECRET DEFENSE » depuis tant d’années, rendant ainsi définitivement suspecte cette position ?
Dans tous les cas, les affirmations de certains journalistes locaux, nationaux et régionaux océaniens prétendant que Jean-Pascal COURAUD alias « J P K » était journaliste à l’époque où il est devenu introuvable après avoir abandonné sa famille en décembre 1997 est intolérable et cette manipulation journalistique nuit à la manifestation de la vérité.
J’insiste sur le fait que « J P K » n’était effectivement plus journaliste en 1997, et ce depuis une dizaine d’années.
A qui continue de profiter la psychose manifestée par « J P K » il y a près de 24 ans?
La famille COURAUD, mentant sur la profession de journaliste de « J P K » en 1997, est une imposture.
Pourquoi avoir créé sciemment cette imposture, y compris sur le site internet qu’ils ont dédié à cette affaire, alors que Jean-Pascal était un simple employé de la mairie d’Arue ?
« À qui profite la disparition de Jean-Pascal Couraud, alias JPK ?«
QUI CONTINUE DE BENEFICIER EN 2022 DE CETTE DISPARITION ?